L’une chante ce que l’autre danse et traduit en langue des signes. Leur répertoire est composé de chansons d’Anne Sylvestre, Georges Brassens, Bourvil, Edith Piaf, Charles Aznavour, Jacques Brel… et de Marie Abela elle-même qu’on aime recevoir et entendre depuis au moins 2017 au Théâtre de l’Èvre.
À deux corps, celui de la voix, celui des mains, elles revisitent les chansons, les “double languent”, les questionnent, les mettent en gestes, en mouvement. Elles se posent, tels des papillons ou libellules, là où le vent les mène et crée leur mise en scène In Situ. Deux corps au service du dire et du rêve.
À nue, à coeur et en choeur, et valse la morosité, advienne qui s’émouvra !
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