Le duo encanaille les hautbois et hautbois baryton de Jean-Christophe Planès dans des compositions d’Adama Keita, jeune virtuose malien de la kora, neveu et élève de Toumani Diabaté. Teriike, qui signifie “ami” en bambara (langue nationale du Mali), s’est tout naturellement imposé pour baptiser ce duo, en cette période difficile pour les relations entre nos deux pays.
On est très heureux.ses au Théâtre de l’Èvre de retrouver ce “Vent” découvert dans le duo Du vent dans les bronches sur la précédente saison. Et ému.e.s également de retrouver les volutes de la kora, cette harpe africaine qui y a résonné il y a de nombreuses saisons avec Assetou Diabaté et son choeur.
Les murs de notre petit théâtre se souviendront à coups sûrs de cet emblème mandingue qu’est la kora. Une soirée sous le signe de l’amitié, évidemment.
Jeune public
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