
Chacun à leur manière, sur des supports et avec des matériaux différents, posent un regard sur la figure humaine qu’ils mêlent et associent à des éléments naturels, autant liquides qu’aériens. Benoît Gillet déploie ses tissus peints de ronces depuis les voutes de la salle Saint-Mauron, créant un amas végétal foisonnant. Dans la même mouvance, Alice Suret-Canale nous transporte dans les marais, écosystème à la vie grouillante, d’où émergent des figures serpentines. Enfin, Florence Vasseur déploie, dans les caves, une série d’œuvres réalisées à partir de noir de fumée où l’enveloppe corporelle devient rhizomes, tubercules et racines.
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